12/03/2008 - OTAN, dix morts dans le crash d'un C-130 Hercules

D.R Pour Air et Aviation, édition avril 2008

D.R Yahoo.infos, avril 2008

Encore une fois, La vérité qu'on nous cache pointe du doigt ce que tous les médias ont passé sous silence. La vérité sur les circonstances troubles du crash du C-130 américain en Allemagne il y a trois mois.
Et le moins que l'on puisse dire, c'est qu'on est très loin de la version officielle dénuée de tout fondement et prétendant à une défaillance des systèmes de vol à la suite de l'utilisation d'un hypothétique et inconnu système de brouillage com.

Démontons d'abord cette grossière parodie d'enquête. Tout amateur même légèrement éclairé d'aviation sait parfaitement que le C-130 est l'un des appareils les plus fiables qui soit. Conçu pour voler, atterrir et décoller dans les pires conditions opérationnelles, il dépend pour ses fonctions primaires d'une avionique minimaliste et très loin d'être essentielle. Et comme le veut la doctrine américaine, il dispose d'une double, voire d'une triple redondance sur les rares dispositifs vitaux. Il est parfaitement invraisemblable qu'une panne, même généralisée des instruments embarqués réussisse à provoquer un crash alors que l'appareil volait sur un parcours familier des pilotes, et dans des conditions de visibilité et de manœuvrabilité optimum...

Si ce n'est pas ça, c'est que le crash a d'autres causes...

La Vérité qu'on nous cache a relevé plusieurs points très troubles dans cet accident...

Le nombre de victimes. Un C-130 classique compte effectivement cinq membres d'équipages, mais le nombre de dix victimes ne tient pas quand on sait que les procédures en vigueur dans l'armée de l'air américaine n'intègrent un équipage de secours que dans les vols transcontinentaux. L'avion venait tout droit de Hongrie, un trajet très court pour ce genre d'appareils. Ce nombre est encore plus suspect quand on sait que la base américaine de Ramstein a récemment remplacé ses appareils C130 Hercules par le nouveau modèle de chez Lookhed, le C-130J Super Hercules. Un modèle plus récent dont la caractéristique principale est qu'il n'a besoin que d'un équipage de deux hommes pour fonctionner...

Le vol de l'avion avant le crash. La Vérité qu'on nous cache a retrouvé et interrogé des témoins du crash. Bien que l'avion soit tombé dans une zone boisée et difficile d'accès, ses derniers instants de vol ne sont pas passés inaperçus. Et la aussi, on note des discordances par rapport à la version officielle. D'après deux témoins du crash, restants évidemment anonymes pour leur propre sécurité, l'avion aurait brusquement chuté sans qu'aucun signe d'avarie ne soit visible. Il aurait simplement piqué du nez avant d'aller s'écraser en pleine forêt, ce qui est tout à fait incompatible avec une équipe de pilote luttant pour garder le contrôle de leur appareil.

La dispersion des corps. Bien que la zone du crash ait été bouclée avec une rapidité suspecte par les autorités, les premiers témoins sur les lieux ont eu le temps de noter d'autres faits étranges. Alors que les corps auraient du se trouver dans le voisinage immédiat des débris de l'appareil, plusieurs d'entre eux on été retrouvés à plusieurs centaines de mètres des débris les plus éloignés. Ces corps se situaient bien sur la route suivie par l'avion AVANT son crash mais surtout, ils ne portaient aucune des traces habituelles que laisse un accident d'avion. Les rares témoins ayant pu les apercevoir parlent même de blessures qui ressemblait plus à des mutilations causés par des armes tranchantes que par une chute ou des projections.

Les armes trouvés sur les lieux. Sur les quelques photos trouvés dans la presse, on voit très distinctement un des récupérateurs ramasser un fusil qu'on identifie comme un modèle XM25. Modèle qui je le rappelle n'est employé à l'heure actuelle que par les troupes d'élites américaine. Notamment la fameuse Team 6 et autres Delta force.

L'intervention américaine. Alors que les secours allemands arrivaient sur place avec leur efficacité habituelle, ils ont reçu l'interdiction de s'occuper de l'épave. Celle ci à en effet été rapidement bouclé par des Marines venus de la base américaine. Sur ordre spécial de leur ambassadeur local, ils ont refusé toute ingérence dans cette affaire. Et, ce qui est encore plus curieux, une fois les débris ramassés, ils ont maintenu une présence militaire sérieuse dans la zone et une grande partie de la forêt l'entourant.


On est donc en droit de se poser des questions. Que faisait un commando complet de troupes d'élites américaines dans un vol soi disant de routine ? Que s'est-il passé dans cet appareil qui a pu pousser ces soldats à abandonner le contrôle de leur appareil ? Et à en sauter volontairement ou non avant le crash ?

Que cherchait à cacher les soldats américains autour de l'épave? Et qu'ont-ils cherché à retrouver ensuite ?

A.N La Vérité qu'on nous cache, juin 2008.